L'herbe était parsemée de petites pierres blanches et quelques oliviers bas y poussaient. L'après-midi était d'un jaune éclatant. Je m'assis dans l'herbe, sous un des petits arbres, dont les branches n"étaient guère loin de ma tête, et je me reposai en regardant Avignon de l'autre côté du Rhône. C'était très doux, très tranquille et très agréable, bien que je ne sois pas certain que ce fût tout ce que je me serais attendu à trouver dans une semblable combinaison d'éléments : le mur d'une vieille cité comme toile de fond, un baldaquin d'oliviers et, comme couche, la terre provençale.
Un magnifique souvenir des Baux de Provence.. ça grimpait ferme mais quelle récompense quand depuis une terrasse on a pu admirer le paysage à l'infini.C'était l'été..il y avait du monde..ça gâchait un peu le plaisir...c'était vers 1985/86...:-)))
C'est beau ! Ces couleurs !
RépondreSupprimerUn superbe souvenir de Mouriez...
Bel après-midi !
Bises
Un magnifique souvenir des Baux de Provence.. ça grimpait ferme mais quelle récompense quand depuis une terrasse on a pu admirer le paysage à l'infini.C'était l'été..il y avait du monde..ça gâchait un peu le plaisir...c'était vers 1985/86...:-)))
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