Laissons le vent tourner les pages...

Laissons le vent tourner les pages ...

L'herbe était parsemée de petites pierres blanches et quelques oliviers bas y poussaient. L'après-midi était d'un jaune éclatant. Je m'assis dans l'herbe, sous un des petits arbres, dont les branches n"étaient guère loin de ma tête, et je me reposai en regardant Avignon de l'autre côté du Rhône. C'était très doux, très tranquille et très agréable, bien que je ne sois pas certain que ce fût tout ce que je me serais attendu à trouver dans une semblable combinaison d'éléments : le mur d'une vieille cité comme toile de fond, un baldaquin d'oliviers et, comme couche, la terre provençale.
Henry James, Voyage en France

jeudi 11 décembre 2014

Bonnieux













Le 3 novembre, pas un chat, même pas le Blanc, celui de l'atelier qui est fermé !
Bon, je ne monte pas plus haut, il fait vraiment trop moche ... Un petit coup d'oeil d'où je me trouve.


1 commentaire:

  1. J'aime bien l'idée que l'enseigne de l'Atelier du Chat Blanc soit noire !
    Merveilleux Lubéron dont je ne me lasse pas et Bonnieux à beaucoup de charme à travers ton œil de photographe.
    Hier après-midi j'étais au musée Cocteau et j'ai pensé à vous.
    Gros bisous à vous deux.
    Câlins à la petite Tribu.
    Belle soirée

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